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Amour, drogues et astrologie

 
Cet article n'a pas pour prétention d'apporter une étude complète et fiable sur les thèmes évoqués. Il s'agit juste du fruit de mes réflexions personnelles. Certaines informations, comme des livres, des publications scientifiques m'ont aussi fortement aidé.

Tout est parti de ce constat, issu de découvertes scientifiques récentes sur le fonctionnement des hormones cérébrales. A savoir qu'une personne, lorsqu'elle éprouve un sentiment amoureux envers une autre, voit son cerveau générer des substances, les endorphines, identiques à celles que peuvent générer des drogues (tabac, alcool, mais aussi drogues plus dures). Sans bien sûr les inconvénients qui leur sont liés. Il serait évidemment risqué de faire une analogie complète entre quelqu'un qui aurait un coup de foudre en découvrant un nouveau visage et le junkie qui se dope. Mais le constat est là, indéniable : être amoureux provoque un sentiment de bonheur, de bien-être, de l'euphorie, et forcément un sentiment d'accoutumance. Quand la personne aimée n'est pas là, quand elle s'éloigne, ou quand il y a rupture, fin de la relation, le cerveau modifie le niveau de sérotonine (autre substance hormonale, qui joue elle sur le niveau d'anxiété et le moral de la personne). En français courant : c'est la déprime, voire la dépression.

Je ne suis pas sûr que ces quelques lignes suffiront à rassembler les êtres ouverts à la spiritualité, qui trouveront un de leurs préceptes fondamentaux (enfin, je l'espère) qui veux que l'amour soit le ciment de nos êtres, voire de ce monde, de notre univers, ramené à un simple réglage hormonal, et les zététiques de tous poils, qui pensent et donc sont, et pour qui l'amour comme tous les sentiments tiennent de l'incohérence inexpliquée (et donc futile). Pas dit non plus que les philosophes me suivent sur ce terrain, eux pour qui l'amour est un concept, auquel attacher une définition peut prendre toute une vie. J'éviterai pourtant ce raccourci facile : ce n'est pas parce que des substances, des neurotransmetteurs, jouent les Schumacher de la synapse que l'on est amoureux, c'est parce que l'on est amoureux que les hormones nous frétillent et nous titillent. De même pour l'état déprimé de l'individu privé de son « fix » sentimental. Croule-t-il sous le poids d'un déséquilibre chimique, ou plutôt sous celui des souvenirs, du manque physique de la personne, de la peur et des angoisses d'un futur qu'il imagine forcément moins rose ? Poids que son corps va aussi exprimer, car physique et mental sont intimements liés.

Non, le but de cet article est de vous amener sur une réflexion toute autre. Comprendre. Comprendre d'abord pourquoi une personne, prise dans une relation, ou face à une relation commençante, peut se laisser prendre par autant d'incertitudes (et garnir joyeusement la section synastrie d'astromail). Comprendre pourquoi la fin d'une relation peut avoir, pour cette personne, les allures de fin du monde (alors que, pendant ce temps, la Terre continue impunément de tourner). Comprendre aussi pourquoi nous sommes tant, à nous prendre les pieds dans la consommation de substances plus ou moins assimilées à des drogues, plus ou moins ou pas du tout légales (du chocolat à l'extasy), dans ces petites habitudes qui tiennent à l'accoutumance.
 

 
Amour = Soleil

Loin de moi l'idée de défendre une philosophie « bisounoursienne » de la vie, où l'amour est tout, fait tout, donne tout, est indéniablement ce qu'il y a de plus beau, et où tout le monde devrait passer son temps à se faire des bisous. Encore que, l'avis de la personne qui a lancé la mode des « free hugs » sur la question serait intéressant. J'ai un peu de mal avec le précepte que j'ai cité moi-même plus haut : « l'amour est le ciment de nos êtres, voire de ce monde, de notre univers. » Allez, on va mettre ça sur le compte de blocages personnels, et se pencher entre le lien qu'il y a entre l'amour et le Soleil.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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